A l'école enfantine, en plus d'écrire mon nom au mur à la peinture sur le mur, j'ai aussi appris beaucoup de chansons. J'ai toujours aimé chanter, et je me souviens encore avec nostalgie de certaines des chansons que j'avais apprises à cette époque.
Dans notre classe, il y avait encore un vieux tourne-disques. On avait probablement aussi un lecteur CD, mais je me souviens surtout de ce tourne-disques, posé sur la banquette de la fenêtre. Une fois, on avait appris une chanson - je ne sais plus laquelle - et on la chantait accompagnés par le disque. On l'a chanté tant et tant de fois, avec le disque dans le tourne-disque posé sur la banquette un peu bancale, que celui-ci a fini par se rayer. Mais cela ne nous empêchait pas de chanter quand même avec le disque : on savait par cœur l'endroit où ça allait sauter, et à quel mot il fallait reprendre. Et on chantait notre chanson avec notre disque rayé, sautant des bouts de phrase et de mélodie, imperturbables, avant d'éclater de rire.
Vous aussi, racontez-moi un souvenir d'enfance, en commentaire ou sur
votre blog, avec un lien vers celui-ci. Je vais essayer de poster
chaque mardi un nouveau petit souvenir d'enfance, amusant, beau ou
triste.
Il y a toujours eu un tourne-disque chez mes parents (ainsi qu'une impressionnante collection de vinyles). Je me souviens que j'écoutais Pierre et le Loup dessus, l'espèce de crépitement donnait une dimension encore plus inquiétante !
RépondreSupprimerBisous ;)
Oh oui, Pierre et le Loup ! On l'écoutait à l'école, aussi.
SupprimerJ'écoutais... Jacques Martin racontant Winnie l'Ourson.
RépondreSupprimerEt les Pink Floyd.
:)
SupprimerJ'enregistrais mes chansons préférées du "top 50" sur des cassettes parce que mes parents ne me laissaient pas acheter de cassettes ou de disques (on n'a jamais eu de lecteurs de disques chez moi, et les CD sont arrivés bien après mon départ de chez mes parents). Après quelques temps, j'enregistrais d'autres chansons par-dessus les vieilles, jusqu'à ce que les cassettes rendent l'âme :)
RépondreSupprimerOh, les cassettes, quelle époque. Ça me paraît encore plus lointain que les disques, bizarrement. Nous, on enregistrait des cassettes pour pouvoir les écouter dans la voiture quand on partait en vacances. On se faisait chacun (mes parents, mes sœurs et moi) une cassette avec nos chansons préférées, et on les écoutait à tour de rôle.
SupprimerC'est drôle, je viens d'écrire sur mon blog un souvenir d'enfance. Je viens chez toi et tu nous demande de t'en raconter un! :-) Ça tombe bien :-)
RépondreSupprimerCanaille : moi aussi j'ai écouté Pierre et le loup si souvent sur le tourne-disque chez mes parents!!!
Jolie coïncidence :) Je suis allée lire ton joli souvenir sur ton blog !
SupprimerAh, les disques rayés… il y avait une chanson d'Annie Cordy (sur une femme torreador) avec la phrase "il s'élance, comme… ance, comme… ance comme…" jusqu'à ce qu'on arrive à passer la rayure. Et pour ma sœur et moi, c'était le mange-disques (orange) avec lequel nous écoutions Milord d'Edith Piaf, la symphonie classique de Prokofiev et les danses hongroises de Brahms, et les tubes des années 70 (Oh Marylin, Marylène, Marilou, c'était de qui ? Ou l'été indien, évidemment)
RépondreSupprimerJe vois que les tourne-disques t'évoquent de beaux souvenirs ! :) :) :)
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