Le jour de l'anniversaire du Minus, j'ai fait faire un petit jeu à ses grands-parents. J'avais imprimé 12 photos de lui - une par mois, de sa naissance à ses 11 mois - et j'ai demandé à ses grands-parents d'essayer de les remettre dans l'ordre. Les premiers mois, c'est plutôt facile... mais au bout du 6 ou 7ème, on a tendance à se perdre ! Ils s'en sont plutôt bien sortis, avec juste quelques inversions. Chapeau les grands-parents !
J'ai trouvé super de voir toutes ces photos mises les unes à côté des autres ; c'est génial de voir comme il a poussé depuis ce 25 février. J'avais donc envie de vous le faire partager ! Voici donc le tout, avec la photo de ses 12 mois en prime. (Après, promis, j'essaie de changer de disque ;)
lundi 27 février 2012
dimanche 26 février 2012
A mon Bibou
Mon petit loup, je n'arrive pas à croire que cela fait déjà un an que tu es là, tant je me souviens bien de ces premiers instants (l'accouchement, la petite bouche qui s'accroche à moi pour téter, la nuit à l'hôpital, la première nuit avec lui à la maison - aïe, tu avais eu le hoquet, et ton papa et moi étions tout paniqués - les premières semaines sans sommeil...)
Et en même temps, j'ai l'impression que tu es là depuis toujours, tellement je ne peux plus imaginer ma vie sans toi ! Je t'aime, mon petit Bibou à moi.
[Heu... un peu trop gluant de mièvrerie, tout ça, non ? Promis, je ne recommencerai pas (jusqu'à la prochaine fois.)]
Et en même temps, j'ai l'impression que tu es là depuis toujours, tellement je ne peux plus imaginer ma vie sans toi ! Je t'aime, mon petit Bibou à moi.
[Heu... un peu trop gluant de mièvrerie, tout ça, non ? Promis, je ne recommencerai pas (jusqu'à la prochaine fois.)]
Première bougie
Vous pouvez le croire ? Mon petit Bibou, ce Mini qui, il n'y a pas si longtemps, était encore bien au chaud au creux de mon ventre, vient de fêter son premier anniversaire. Et c'est aujourd'hui, à un an et un jour, qu'il a soufflé sa première bougie, en présence de tout un tas de monde - ses grands-parents bien sûr, son oncle et sa tante paternels, ses grands-oncles et grandes-tantes, leurs enfants, et parfois leurs petits-enfants.
Bon, quand je dis qu'il a "soufflé", on se comprend.
Il a regardé brûler le petit feu d'artifice...
...puis s'est fait un peu aider.
Remarquez au passage le joli gâteau en forme de guitare, le cadeau de notre voisine - et la surprise, elle nous avait dit qu'il serait en forme de Winnie L'Ourson. Merci beaucoup Nadia ! Cela n'a pas été son seul cadeau : il a maintenant de quoi être bien habillé pour les six prochains mois. Merci beaucoup à tous de le gâter comme cela.
Je vous avoue un petit quelque chose ? Le Bibou n'a mis ces vêtements que pour la photo ; le reste du temps, il était plutôt comme cela :
Bon anniversaire, mon petit Bibou d'amour ! Et continue de nous étonner, de nous émerveiller, et même de nous réveiller en pleine nuit, si tu veux ; on ne t'en voudra qu'à moitié, et tu resteras toujours notre petite merveille à nous.
Bon, quand je dis qu'il a "soufflé", on se comprend.
Il a regardé brûler le petit feu d'artifice...
...puis s'est fait un peu aider.
Remarquez au passage le joli gâteau en forme de guitare, le cadeau de notre voisine - et la surprise, elle nous avait dit qu'il serait en forme de Winnie L'Ourson. Merci beaucoup Nadia ! Cela n'a pas été son seul cadeau : il a maintenant de quoi être bien habillé pour les six prochains mois. Merci beaucoup à tous de le gâter comme cela.
Je vous avoue un petit quelque chose ? Le Bibou n'a mis ces vêtements que pour la photo ; le reste du temps, il était plutôt comme cela :
Eliel ouvrant l'un des deux cadeaux offert par... ses parents qui l'aiment. |
Bon anniversaire, mon petit Bibou d'amour ! Et continue de nous étonner, de nous émerveiller, et même de nous réveiller en pleine nuit, si tu veux ; on ne t'en voudra qu'à moitié, et tu resteras toujours notre petite merveille à nous.
mardi 21 février 2012
A petits pas
Mon Bibou devient grand. La preuve : il aura un an samedi. On n'est pas grand, à un an ? Et quand en plus, on commence à savoir marcher ?
Marchouiller, devrais-je dire. Il a bien compris qu'il fallait mettre un pied devant l'autre, ça, aucun problème. Quand on lui tient les deux mains (les DEUX, hein, une seule, ça ne va pas), il fonce à toute allure, et sait très bien nous faire le suivre là où il veut. Et quand on lâche les mains ? Eh bien, depuis quelques jours, il tient. Oui, il tient debout !
Et il fait même mieux. Quand ensuite, on lui tend les bras, il avance. Comment ? Il se penche en avant et fait un pas et demi, avant qu'on ne le rattrape. Il n'a pas encore compris qu'on pouvait marcher sans s'affaler dans les bras de maman ou papa. Enfin, ça viendra !
Marchouiller, devrais-je dire. Il a bien compris qu'il fallait mettre un pied devant l'autre, ça, aucun problème. Quand on lui tient les deux mains (les DEUX, hein, une seule, ça ne va pas), il fonce à toute allure, et sait très bien nous faire le suivre là où il veut. Et quand on lâche les mains ? Eh bien, depuis quelques jours, il tient. Oui, il tient debout !
Et il fait même mieux. Quand ensuite, on lui tend les bras, il avance. Comment ? Il se penche en avant et fait un pas et demi, avant qu'on ne le rattrape. Il n'a pas encore compris qu'on pouvait marcher sans s'affaler dans les bras de maman ou papa. Enfin, ça viendra !
dimanche 12 février 2012
Ça y est
Ça y est, Giovanna est passée. Elle ne s'est pas approchée à moins de 280 km des côtes, laissant toutefois trainer au-dessus de nous ses bancs de nuages, ses rafales de vent et ses averses. Maintenant, elle se dirige vers Madagascar. La Grande Ile, elle, n'y échappera pas...
samedi 11 février 2012
Alerte - Giovanna approche !
Aujourd'hui, j'ai pu rentrer plus tôt du travail, grâce à... Giovanna !
De qui s'agit-il ? Du cyclone qui se balade en ce moment dans l'Océan Indien, à environ 330 kilomètres des côtes mauriciennes.
Ce matin, il y avait une alerte de classe I, ce qui signifie que le cyclone est en train d'approcher. A 9h, l'alerte était déjà passée en classe II.
A ce moment-là, j'étais en train de me rendre au travail - pas de cours aujourd'hui, mais une distribution de flyers à l'occasion d'un salon sur l'éducation. Lorsqu'on est en classe II, la population est normalement censée acheter suffisamment de provisions et d'eau en bouteille pour tenir trois jours, mais aussi des bougies et des piles, car l'électricité est coupée si le cyclone passe juste sur l'île. Je me demande d'ailleurs comment on est supposé faire, puisque les employés ne peuvent en principe rentrer chez eux que quand l'alerte passe en classe III - ce qui est arrivé aujourd'hui à 16h - et que les magasins et supermarchés ferment également à ce moment-là.
A 16h donc, la radio annonçait que l'alerte passait en classe III, d'après le dernier bulletin de la météo. Les gens ont donc commencé à quitter petit à petit le Salon, et nous avons pris le bus pour rentrer chez nous.
Il ne pleuvait pas à Port-Louis, mais il commençait à y avoir du vent. Les marchands ambulants étaient encore là - plus pour longtemps, sûrement, mais il essayaient de vendre encore deux ou trois bricoles avant de fermer boutique. Le bazar était fermé, par contre ; dommage, j'aurais bien voulu pouvoir acheter quelques légumes, même si mon chéri s'était déjà procuré tout le nécessaire.
Maintenant, ça souffle toujours beaucoup. Bibou dort, chéri m'attend, et moi, je broadcaste les dernières nouvelles avant de filer au lit. Au fait, d'après les prévisions de météofrance, le cyclone ne devrait pas passer sur Maurice. Mais un infléchissement de sa trajectoire est toujours possible - d'où l'alerte. On verra donc demain matin ce qu'il en est. Pour ma part, j'espère qu'on sera encore en classe III, voire IV ; au cas contraire, je devrai retourner distribuer des tracts :/
PS : Je voulais vous mettre des photos des palmiers secoués par le vent, mais je n'arrive pas à les transférer depuis mon téléphone portable.
De qui s'agit-il ? Du cyclone qui se balade en ce moment dans l'Océan Indien, à environ 330 kilomètres des côtes mauriciennes.
Ce matin, il y avait une alerte de classe I, ce qui signifie que le cyclone est en train d'approcher. A 9h, l'alerte était déjà passée en classe II.
A ce moment-là, j'étais en train de me rendre au travail - pas de cours aujourd'hui, mais une distribution de flyers à l'occasion d'un salon sur l'éducation. Lorsqu'on est en classe II, la population est normalement censée acheter suffisamment de provisions et d'eau en bouteille pour tenir trois jours, mais aussi des bougies et des piles, car l'électricité est coupée si le cyclone passe juste sur l'île. Je me demande d'ailleurs comment on est supposé faire, puisque les employés ne peuvent en principe rentrer chez eux que quand l'alerte passe en classe III - ce qui est arrivé aujourd'hui à 16h - et que les magasins et supermarchés ferment également à ce moment-là.
A 16h donc, la radio annonçait que l'alerte passait en classe III, d'après le dernier bulletin de la météo. Les gens ont donc commencé à quitter petit à petit le Salon, et nous avons pris le bus pour rentrer chez nous.
Il ne pleuvait pas à Port-Louis, mais il commençait à y avoir du vent. Les marchands ambulants étaient encore là - plus pour longtemps, sûrement, mais il essayaient de vendre encore deux ou trois bricoles avant de fermer boutique. Le bazar était fermé, par contre ; dommage, j'aurais bien voulu pouvoir acheter quelques légumes, même si mon chéri s'était déjà procuré tout le nécessaire.
Maintenant, ça souffle toujours beaucoup. Bibou dort, chéri m'attend, et moi, je broadcaste les dernières nouvelles avant de filer au lit. Au fait, d'après les prévisions de météofrance, le cyclone ne devrait pas passer sur Maurice. Mais un infléchissement de sa trajectoire est toujours possible - d'où l'alerte. On verra donc demain matin ce qu'il en est. Pour ma part, j'espère qu'on sera encore en classe III, voire IV ; au cas contraire, je devrai retourner distribuer des tracts :/
PS : Je voulais vous mettre des photos des palmiers secoués par le vent, mais je n'arrive pas à les transférer depuis mon téléphone portable.
jeudi 9 février 2012
Où l'on parle de Cara
Aujourd'hui, j'ai décidé de me googleliser. J'ai tapé "Cara" dans le moteur de recherche, pour voir un peu ce qu'on trouvait. Eh bien, je n'aurais jamais pensé que ces quatre petites lettres seraient le sigle de tant de choses. Entre autres : Corporation de l'Aménagement de la Rivière de l'Assomption (au Québec), Communauté d'Agglomération Royan Atlantique (en France, ah bon), ou Council for assisting refugee academics. Ah, Cara est apparemment aussi une marque de chaussures !
Enfin, je suis tombée sur la page Wikipédia dédiée à ce nom (si si !). Alors, à part le nom de famille de Cécilia, Irene, Marchetto et Vincent (respectivement chanteuse, actrice, compositeur et dessinateur de BD), et le nom d'une héroïne de roman (L'épée de vérité, connais pas), Cara est aussi une île écossaise et une langue amérindienne disparue.
PS: Des idées de posts trottent dans ma tête, à propos de mangues et de rencontres ; je tâcherai donc de revenir bientôt avec des nouvelles un peu plus intéressantes. Mais avec le Bibou malade (fièvre, rhume, toux, pauvre Bibou !), ce n'est pas facile de trouver du temps... (Là, je suis au travail, c'est mon heure de pause).
Enfin, je suis tombée sur la page Wikipédia dédiée à ce nom (si si !). Alors, à part le nom de famille de Cécilia, Irene, Marchetto et Vincent (respectivement chanteuse, actrice, compositeur et dessinateur de BD), et le nom d'une héroïne de roman (L'épée de vérité, connais pas), Cara est aussi une île écossaise et une langue amérindienne disparue.
C'est décidé, un jour, j'irai y faire un tour. |
PS: Des idées de posts trottent dans ma tête, à propos de mangues et de rencontres ; je tâcherai donc de revenir bientôt avec des nouvelles un peu plus intéressantes. Mais avec le Bibou malade (fièvre, rhume, toux, pauvre Bibou !), ce n'est pas facile de trouver du temps... (Là, je suis au travail, c'est mon heure de pause).
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